7.BÉNIGNITÉ
Le septième fruit de l’Esprit Saint, c’est la bénignité, soit le fait de ne faire aucun mal à personne, jamais, pour aucune raison, car le but que l’on vise, si « bon »puisse-t-il nous sembler (p. ex., soulager la souffrance au moyen de la mise à mort), ne justifie jamais le moyen. En effet, la Loi de la nature fait qu’on récolte toujours exactement ce que l’on sème. Si on sème des fruits de mort, on récoltera des fruits de mort.
8.MANSUÉTUDE
Le huitième fruit de l’Esprit Saint, c’est la mansuétude (indulgence), soit le non-jugement, la non-condamnation et l’empathie, soit la compréhension de la souffrance et de l’ignorance qui sous-tendent le mal, et la volonté de leur guérison
9.FIDÉLITÉ
Le neuvième fruit de l’Esprit Saint, c’est la fidélité, soit l’intégrité, l’honnêteté, le respect de notre parole et de nos engagements
10.MODESTIE
Le dixième fruit de l’Esprit Saint, c’est la modestie, soit :-la modération (pas d’excès); -l’équilibre; -l’humilité; -la simplicité; -la discrétion; -le naturel; -la pudeur*; -la pauvreté (le détachement, se contenter de l’essentiel, le partage)* La pudeur, c’est le fait de garder pour soi comme son trésor le plus précieux, son intimité physique et sentimentale. C’est donc éviter de se vêtir, de parler, de se mouvoir ou de se comporter de sorte à chercher à provoquer, à séduire ou à exciter. C’est vouloir à tout prix préserver la pureté du regard, de l’ouïe et de tous les sens des autres pour qu’ils puissent demeurer forts dans la chasteté (voir le 12efruit de l’Esprit Saint),car la pureté est le fondement du bonheur
11.CONTENANCE
Le onzième fruit de l’Esprit Saint, c’est la contenance, soit le fait d’être raisonné, réfléchi et raisonnable, agissant non sous le coup des pulsions, de l’impulsion ou des réactions émotionnelles. C’est la maîtrise de soi, y compris la continence(la transformation de notre force sexuelle en énergie constructive et créatrice pour notre vie).
12.CHASTETÉ
Le douzième fruit de l’Esprit Saint est la chasteté, soit le fait de réserver l’acte de la procréation pour le sacrement du mariage entre un homme et une femme; d’honorer, dans cet acte, le don de soi complet, y compris son potentiel de fécondité, de parentalité (372); au besoin, de tenter d’espacer les naissances naturellement, en partageant l’étreinte matrimoniale pendant les jours moins féconde du couple (2368-2372, 2399); et de toujours conserver la pureté et la pudeur,même et surtout dans cette intimité la plus sacrée qui soit qu’est l’acte de la procréation.